Pour le CISS, la solidarité n’est plus ce qu’elle était…

Par Guillaume Varinot et Timothée Barbier le 4 avril 2012

Yann Lecomte préside le CISS de Bourgogne et donne à Dijon santé son point de vue sur le rôle que les questions de santé sont appelées à jouer dans le choix d’un candidat. Elles joueront un rôle donc, même si les programmes sanitaires des différents candidats se ressemblent sur un point : peu fournis…

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Commentaires

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  • le douaron le 5 avril 2012 à 11:35

    bonjour,
    je serai nuancé puisque nous avons déjà eu à nous entretenir maintes fois de ce sujet. ça n’empêche pas que dernièrement j’ai encore entendu Mr Saout CISS dire qu’il n’est pas possible d’interdire les dépassements d’honoraires. n’aurait il pas pu ajouter dans le privé et condamner les dépassements d’honoraire dans le service public. il serait remonté dans mon estime. Je crois qu’il est pied et mains liés en tant que président d’une association de santé où il côtoye régulièrement des médecins et il ne veut pas ‘froisser ». ça n’est pas, nous patients, ce que l’on attend d’une association que se veut défendre « le droit des patients »

  • YVRAY le 5 avril 2012 à 17:38

    Trés interessant ces copiés collés pour ne rien dire et en plus parler de choses que l’on ne connait pas. Avant de lancer de telles accusations sur un responsable d’association, il serait bon de montrer ce que l’on fait comme actions positives dans le domaine de la santé. Mais le ridicule ne tue pas. A signaler à ce monsieur, que sans l’action du CISS, il est probable qu’aujourd’hui,Monsieur DOUARON ne parlerait pas de déremboursement, mais d’absence totale de remboursements.

  • le douaron le 9 avril 2012 à 10:55

    ma réponse à Mr Yvray lundi 9 avril 2012
    Monsieur et cher ex collègue associatif,
    Votre intervention à mon égard me surprend. Je parle , selon vous, de choses que je ne connais pas..
    Eh bien, vous semblez avoir oublié que j’ai présidé , comme vous, une association de santé locale. Nous n’avons bien entendu jamais parlé de ces problèmes car, je n’ai jamais voulu politiser nos réunions. Sachez que je connais suffisamment le problème, voyez Mr Lecomte CISS local qui pourra vous dire que ça fait depuis longtemps que je donne mon point de vue sur le sujet des dépassements d’honoraires principalement EN SECTEUR PUBLIC. C’est le propos principal de ma réaction ci-dessus retranscrit. Je regarde, le plus souvent possible l’émission Le Magasine de la Santé et, ce que je reproche à Mr Saout, c’est de ne pas condamner les dépassements d’honoraires en secteur public. Libre à vous ou tout autre de payer les dépassements d’honoraires que vous voulez. C’est bien une médecine à deux , trois , vitesse qui est en marche. Quant aux dé-remboursementss, je ne traite pas le sujet avec mr Saout dans mon propos alors pourquoi dire : » Avant de lancer de telles accusations sur un responsable d’association, il serait bon de montrer ce que l’on fait comme actions positives dans le domaine de la santé » votre attaque ,est donc pas justifiée à mon égard. Soit dit, je ne veux surtout pas polémiquer avec qui que ce soit, vous ou tout autre responsable d’association, j’ai assez de respect pour les bénévoles en général. Mr Saout est-il bénévole ? c’est une question pas une attaque. Je vous précise à ce sujet que depuis l’âge de 17 ans et jusqu’en 2002,’année de maladie qui m’a éloigné 7mois de mes responsabilités associatifs et même professionnelles’ J’ai fais partie de diverses associations, que j’ai toujours été efficace et charismatique (un jour m’a dit le Directeur de « la Bourguignonne » devenu le Toit Bourguignon actuellement, en assemblée générale d’un conseil syndical de propriétaire), que je n’ai jamais eu de langue de bois pour satisfaire « mes supérieurs associatifs » Les médecins et chirurgiens cardiologues du CHU dont certains prennent des dépassements d’honoraires sont parfaitement au courant de ma position à l’encontre de cette pratique en milieu Public. Concernant le Privé, j’exigerais qu’il soit porté la mention secteur 1 ou 2 sur les plaques extérieures de leur cabinet et que les secrétaires informent le patients lors d’une prise de rdv. Ce qui n’est pas systématique encore actuellement.
    Je vous adresse mes très sincères salutations et souhaite que nos rencontres restent courtoises comme elles l’ont toujours été.