Je pense que ma maladie veineuse est héréditaire !

Par Guillaume Varinot et Dr François-André Allaert le 4 mars 2013

Témoignage de Miriama : « Je pense que ma maladie veineuse est en partie héréditaire. Ma maman en a, et en souffre encore beaucoup. » 

Mariée très jeune ,elle m’a eût à 16 ans.Ensuite sont venus 6 frères et soeurs.Elle a émigré en France, elle qui vivait depuis sa naissance dans un petit village en kabylie(algérie). En ce temps, la vie était rude,on ne mangeait pas plus qu’il ne fallait et on marchait énormément pour aller chercher l’eau aux sources, chercher du bois, aller dans les jardins cueillir des légumes. Chaque saison avait sa charge de travail,et comme le dit si bien le proverbe,le travail c’est la santé.
Une habitude à laquelle ma mère a eût beaucoup de mal à s’habituer est la position de travail debout. Jadis, il n’y avait pas de place dans les pauvres chaûmières de kabylie, donc tout était fait en position de repos pour les jambes. Ma mère en a beaucoup souffert avec ses six grossesses. Vint le jour où notre médecin de famille a proposé à ma mère de se faire scléroser les varices du mollet. Cela a été fait mais maman l’a beaucoup regretté puisque d’autres varices ont fait surface si on peut dire ainsi.
C’est à partir de ma première grossesse que  j’ai commencer à ressentir des douleurs aux jambes. J’avais vingt et un an et j’avais repris mes études donc levée tôt, à peu près trois quart d’heure de voiture ,ensuite toute la journée assise, sortie de la fac à dix sept heures puis préparer le dîner… Ici en algérie il n’y a pas de phlébologue à ma connaissance. J’ai utilisé le cyclo 3 en ampoules mais je l’ai vite arrêté à cause de céphalées. Je me suis documentée sur tout ce qui concerne les varices, lu beaucoup de conseils à ce sujet,mais je les ai rarement appliqué.
La seule chose qui me faisait du bien est le jet d’eau froide mais le soulagement reste de courte durée.

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